Le besoin de cohérence
du cerveau nous fait penser que notre vécu est activé par notre expérience actuelle, alors qu’il l’est à partir de tout un vécu que nous ne connaissons pas, mais qui se réinstalle au travers de ces mécanismes de comparaisons, que notre cerveau sous-cortical opère en permanence à notre insu. Et pour tout arranger, ce sont, parait-il, les circuits les plus stables du cerveau.
Nos émotions et nos traumatismes d'enfance ne sont pas déclenchés juste par ce que nous vivons, mais par ce que nous avons vécu, au travers de mécanismes qui obéissent à une logique, dite de type analogique, qui est complètement différente de celle de la pensée verbale consciente.